Si il vous arrive régulièrement de recompiler un logiciel développé en C ou C++, ccache pourrait vous intéresser. Concrètement, il s’agit d’un programme que vous allez appeler à la place du compilateur et qui va regarder si il n’a pas déjà dans son cache un objet binaire correspondant au fichier à compiler. Ainsi, vous éviterez le temps de compilation pour ce fichier! Au final, on obtient un gain plus ou moins sensible en fonction des projets.

Le cache est par défaut stocké dans le répertoire ~/.ccache/.

Pour utiliser ccache, rien de plus simple sous Debian et ses dérivés comme Ubuntu :)

Il suffit de l’installer

sudo aptitude install ccache

et d’ajouter la ligne suivante dans son fichier ~/.bashrc

PATH=/usr/lib/ccache/:$PATH

Voilà, maintenant ccache remplacera de manière transparente votre gcc qui ne sera appelé qu’en cas de besoin réel :)

Contaténer des fichiers videos encodés avec le même codec, dans la même résolution, avec le même framerate devrait être facile.

Si certains conteneurs video supportent qu’on colle bêtement les fichiers avec la commande cat (ex : cat video1 video2 > fichier_final), ce n’est pas toujours aussi simple! Les applications graphiques ont tendance à passer par un format intermédiaire et à ne pas recopier bêtement les flux mais à les réencoder :(

La solution est d’utiliser mencoder :)

Petit exemple sur un ensemble de fichiers .mov :

mencoder -oac pcm -ovc copy -idx -o repertoire/output.mov *.mov

Quelques explications :

• L’option -oac copy indique à mencoder de copier le flux audio sans le réencoder. -ovc copy est l’équivalent pour le flux video. -oac copy n’était pas disponible pour le type de flux utilisé, c’est pour ça que j’ai utilisé -oac pcm (suggestion de mencoder lors de l’essai avec -oac copy).
• L’option -idx demande à mencoder de construire l’index si il n’existe pas. Cela permet d’avancer/reculer dans la video plus facilement.
• -o pour “output”, ça spécifie le fichier de sortie.
• *.mov correspond ici à la liste des fichiers en entrée.

Explications trouvées ici : http://www.misterhowto.com/index.php?category=Computers&subcategory=Video&article=join_with_mencoder

Depuis septembre, je co-encadre des cours de Roller au CPB Roller. Parmi ceux-ci, il y a les cours parents-enfants du samedi matin.

Lors du dernier cours parents-enfants, début des vacances de février oblige, bien peu de familles étaient présentes !

Un brin casse-cous, les papas s’en sont donnés à cœur joie sur les tremplins :)

Il y a 2 mois, j’installais Ubuntu Intrepid (8.10) sur le netbook de ma compagne, un Acer Inspire One. Peu de temps après, une mise à jour du noyau cassait le driver Wifi :( La carte n’était même plus visible avec iwconfig !! Après diverses incantations magiques, il a fallu redémarrer la bête sous Windows (sans doute pour que le pilote Windows réinitialise la carte), puis passer sur le précédent noyau Linux pour que la carte wifi refonctionne. J’ai viré le paquet linux-image-generic pour bloquer les mises jours…

Depuis, j’ai également installé Ubuntu Intrepid sur mon portable, un HP Pavillon 2450. Tout marchait bien ou presque, impossible de se connecter à mon réseau Wifi chiffré. Équipé d’un routeur Fon, je me connectais au réseau non protégé. Je me demandais si ça ne venait pas du routeur. Ce week-end j’étais chez mes parents, impossible de me connecter sur leur Box… le problème vient donc bien de mon portable.

Ce soir, grâce à cet article, je suis à nouveau connecté sur mon réseau chiffré :)

Mais avec tout ça, j’ai de plus en plus de doutes sur la qualité de Ubuntu et sur le cycle des versions du noyau Linux… Je me dis aussi que le modèle “on met tout jour comme un ensemble (système et applications)” n’est pas le meilleur. Quand les périphériques marchent bien, on aimerait pouvoir mettre à jour uniquement les applications (bon, avec quand même les maj de sécu pour le système) !

Ce matin, je vais faire le plein de gasoil pour ma voiture à l’intermarché des Longchamps à Rennes. J’ai bien vite arrêté le remplissage du réservoir (j’ai mis le minimum autorisé: 5l) quand j’ai réalisé que le prix indiqué sur la pompe était de 1,979 Euros…

Forcément, je n’avais pas demandé de ticket…